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  • : Farandole 2 Bébé
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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 10:10

Voici une histoire à méditer extraite d'un petit livre que l'on m'a offert, que j'ai prêté, perdu, chiné et retrouvé et qui m'accompagne depuis quelques années déjà: "Laisse-moi te raconter...les chemins de la vie" de Jorge Bucay, un recueil de textes et de dialogues entre le thérapeute Jorge Bucay et l'un de ses patients.

L'histoire qui va suivre amène une réflexion sur notre besoin de reconnaissance : 

"Je viens vous voir maître, parce que j'ai l'impression d'avoir si peu d'importance que cela m'ôte toute envie de faire quoique ce soit. Tout le monde me dit que je suis un bon à rien, que je suis maladroit et stupide. Comment puis-je m'améliorer? Comment m'y prendre pour être mieux considéré? "

Le maître, sans le regarder, dit:

" Je suis vraiment désolé, mon garçon. Je ne peux t'aider, car je dois résoudre un problème personnel. Peut-être, plus tard..."

Et, faisant une pause, il ajouta:

"Si tu voulais m'aider, toi, je résoudrais ce problème plus vite et, ensuite, peut-être pourrais-je te venir en aide.

- Euh...j'en serais ravi, maître, bredouilla le jeune homme en ayant de nouveau le sentiment qu'on ne lui accordait que peu d'importance et qu'on remettait ses besoins à plus tard.

- Bien", poursuivit le maître.

Il retira une bague qu'il portait au petit doigt de la main gauche et, la donnant au jeune homme, il ajouta:

"Prends le cheval qui est dehors et va jusqu'au marché. Je dois vendre cette bague pour rembourser une dette. Il te faut en obtenir la plus grosse somme possible et, de toute façon, pas moins d'une pièce d'or. Va-t'en et reviens avec cette pièce d'or aussi vite que tu le pourras."

Le garçon prit la bague et s'en fut. Aussitôt arrivé sur le marché, il se mit en devoir de la proposer aux marchands; ceux-ci la regardaient avec intérêt, jusqu'à ce qu'il annonce le prix qu'il en demandait.

Dès qu'il mentionnait la pièce d'or, certains ricanaient, d'autres détounaient la tête; seul un vieillard fut assez aimable pour prendre la peine de lui expliquer qu'un pièce d'or était bien trop précieuse pour l'échanger contre une bague. Désirant lui venir en aider, quelqu'un lui offrit une pièce d'argent et un récipient en cuivre, mais le garçon avait des ordres: ne pouvant accepter moins d'une pièce d'or, il rejeta l'offre.

Après avoir proposé le bijou à toutes les personnes qu'il croisa sur le marché - au moins une centaine - abattu par son échec, il enfourcha son cheval et rentra.

Comme il aurait aimé avoir une pièce d'or à donner au maître pour le soulager de ses soucis et recevoir son conseil ainsi que son aide! Il revint chez celui-ci.

"Maître, dit-il, je regrette. Il est impossible d'obtenir ce que tu demandes. Peut-être aurai-je pu échanger la bague contre deux ou trois pièces d'argent, mais je ne crois pouvoir tromper personne sur sa valeur véritable.

-Tu viens de dire une chose très importante, mon jeune ami répondit le maître en souriant. Il nous faut d'abord connaître la véritable valeur de la bague. reprends ton cheval et rends-toi chez le bijoutier. Qui mieux que lui peut l'estimer. Dis lui que tu veux la vendre et demande lui combien il t'en donnerait. Mais, quoi qu'il te propose, ne la lui vends pas. Reviens ici avec ma bague."

Le jeune homme repris sa chevauchée.

le bijoutier examina la bague à la lumière d'une lampe à huile, il la regarda avec sa loupe, la soupesa et fini par dire:

"Mon garçon, dis au maître que, s'il veut vendre sa bague tout de suite, je ne puis lui en donner plus de cinquante-huit pièces d'or.

- Cinquante-huit pièces ! s'exclama le jeune homme.

- Oui, répliqua le bijoutier. Je sais qu'avec le temps on pourrait en obtenir plus de soixante -dix, mais si la vente est pressée..."

Tout ému, le garçon courut chez le maître pour lui raconter l'histoire.

"Assieds-toi, dit celui-ci après l'avoir écouté. Tu es comme cette bague : un bijou précieux, unique. En tant que tel, seul peut t'estimer un véritable expert. Pourquoi exiger du premier venu qu'il découvre ta vraie valeur?"

Et, disant cela, il remit la bague au petit doigt de sa main gauche.

bague.jpg

 

A lire également :

Les trois vieillards

Le petit garçon qui avait mauvais caractère

Quel livre vous a le plus ému étant enfant ?

 

 

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 08:34

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRvx0xhhIUMMUj7ifktdC2mqY9vkIY3h-OT3wMe2be7XcwI821EC'est l'histoire d'un petit garçon qui avait mauvais caractère. 
Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent, à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture. Il découvrit qu'il
était plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la clôture.
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture.
Son père le prit par la main et l'amena à la clôture. Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. A chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi néfaste qu'une offense physique. Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur cœur.

Anomyme.http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRst9JPSI30oCRF7JRLItYG-NuHztRSCOp8MA0dM5szHDLJu180

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 08:37

Un jour, une femme sortait de sa maison et vit 3 vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnut pas. Elle leur dit « Je ne pense pas vous connaître, mais vous devez avoir faim. Je vous en prie, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger.

Est-ce que les enfants de la maison sont là ? » ont-ils demandé. Non, ils sont sortis, » leur répondit-elle. Alors nous ne pouvons pas entrer, ont-ils répondu. En fin d'après-midi lorsque les enfants revinrent de l'école, la femme raconta son aventure avec les 3 hommes aux gamins. « Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer! » dirent-ils à
leur mère. La femme sortit et invita les hommes à entrer dans la maison.

Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison, » ont-ils répondu. Un des vieillards expliqua : « Son nom est Richesse, » dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, « Lui c'est Succès et moi je suis Amour.

Il a alors ajouté, « Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. »

La femme retourna à la maison et dit à sa famille ce qu'elle avait entendu. « Comme c'est étrange! », s'exclamèrent les enfants. « Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse ! La mère n'était pas d'accord. Pourquoi n'inviterions-nous pas Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires...

La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprima à son tour: « Veux mamours, veux mamours... » Les parents fondirent devant tant de câlineries enfantines et la mère sortit inviter Amour à entrer...

Amour se leva et commença à marcher vers la maison. Les 2 autres se levèrent et le suivent. Étonnée, la femme demanda à Richesse et Succès: «J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi ? » Les vieillards lui répondirent ensemble : « Si vous aviez invité Richesse ou Succès les deux autres seraient restés dehors, mais puisque vous avez invité « Amour »
partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la « Richesse » et du « Succès »

Anonyme.

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